En important une occasion, il est possible de dénicher des véhicules sportifs encore très attrayants pour un coût modique.
Qui a dit que les voitures sportives étaient inaccessibles ? Sur le marché de l’occasion, et en import, il est aujourd’hui possible de trouver de véritables hits pour moins de 10 000 €. Cerise sur le gâteau : si la voiture a au moins 10 ans, aucun malus écologique n’est à prévoir. Voici un petit tour des sportives exceptionnelles qui vont vous permettre de vous faire plaisir pour un prix plus que raisonnable.
Aujourd’hui remplacée au catalogue par le roadster SLC, la Mercedes SLK a clos sa carrière dans le neuf avec sa dernière génération, la Type 172, produite de 2011 à 2020.
Pour accéder à une SLK à moins de 10 000 €, c’est la première génération (R 170 de 1996 à 2004) qu’il faut viser.
A sa sortie, elle se distingue particulièrement de sa concurrente principale, la BMW Z3, par son toit rigide (le fameux toit escamotable Vario-roof), ses équipements embarqués et la sensation de sécurité qu’elle procure.
Particulièrement agréable à conduire, la SLK n’est pas très joueuse mais offre une réactivité et une précision qui vont rendre vos trajets bien plus grisants.
Les Série 3 ont toujours attiré les amoureux de BMW. Il faut dire que certaines générations ont servi de laboratoire d’essai pour les premiers tours de roues de certains blocs moteurs plus pêchus qu’à l’accoutumée.
C’est notamment le cas de la BMW 325i qui a intégré en tout premier le moteur six cylindres du constructeur (2ème génération), et a commencé à offrir plus de puissance en passant de 129 à 171 ch, puis finalement à 190 ch pour la quatrième génération et 218 ch pour la cinquième mouture.
C’est cette E90, produite de 2005 à 2013, qui devient particulièrement attrayante en termes de tarifs, et se rend disponible au format Coupé, cabriolet, berline et même break.
Même si la troisième génération de Subaru Impreza, commercialisée de 2007 à 2012, a fait passer la berline tricorps reconnaissable entre milles à une carrosserie compacte beaucoup plus passe-partout, la japonaise n’a pour autant rien perdu de sa fougue.
La grande nouveauté de ce millésime, est l’arrivée du diesel dans l’offre du constructeur. Mais les passionnés s’orienteront davantage vers la Subaru Impreza WRX STI identifiable à sa large prise d’air placée sur le capot et à son aileron toutefois moins surdimensionné que sur les versions précédentes.
305 ch de bonheur pour la japonaise qui adopte un quatre cylindres à plat, certes un peu gourmand mais terriblement efficace.
Génétiquement conçue pour le rallye, la Subaru présente l’avantage de s’accommoder des revêtements de route quelque peu dégradés. Elle est même capable, selon le pilote, de tenir la dragée haute à des sportives de haut rang dès lors que les pneus ne profitent plus d’un billard parfaitement lisse.
Sleeper par excellence, la Golf GTI de sixième génération se rend aujourd’hui très accessible à l’import.
Proposée avec son 2.0 l TSI de 210 ou 235 ch, cet opus met toutefois l’accent sur le confort avant la sportivité avec son châssis autobloquant et son amortissement piloté. Une aubaine pour le passager, un peu moins pour le pilote qui n’a pas la possibilité de déconnecter l’EPS de série.
Mais n’exagérons rien, la belle de Wolfsburg offre tout de même un réel agrément de conduite, surtout lorsqu’elle est choisie avec sa boîte mécanique à 6 rapports. La DSG en option n’étant pas encore parfaitement aboutie à l’époque.
Avant de devenir une marque à part entière, Cupra était une simple finition dans la gamme. Une finition qui met l’accent sur la puissance avec des 2.0 l TSI de 265 à 290 ch pour mouvoir l’espagnole de seulement 1 375 kg.
Hormis le design extérieur qui se veut plus sportif que sur la version originale (becquet, double sortie d’échappement, logo chromé, couleurs spécifiques…), la Leon Cupra voit son châssis renforcé pour plus de fermeté, et rabaissé de 10 mm.
Dotée des freins à disque ventilés et du blocage de différentiel mécanique à régulation électronique, la Seat Leon Cupra apporte une toute nouvelle dimension à sa gamme généraliste.
Commercialisée depuis 2006, la Mazda 3 MPS (Mazda Performance Series) est la descendante de la célèbre Mazda 323.
La japonaise embarque un 2.3 l turbo de 260 ch qui offre un couple de 380 Nm, ce qui en fait pour sa génération l’une des tractions les plus puissantes du moment.
Sobre et très agréable à conduire, la MPS voit sa suspension de durcir et bénéficie d’une liaison au sol entièrement revue. Terriblement efficace, elle a toutefois connu un succès limité sous nos latitudes.
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