Les 8 supercars les plus convoitées en import

Par Philippe Mougeot

Aston Martin DB11

L’Aston Martin DB11 est un coupé 2+2, également disponible en cabriolet dans sa version « Volante », qui se décline au choix avec un V8 ou bien un V12.

Fidèle au style so British de son constructeur, cette DB11 affiche une silhouette aussi élégante que moderne. Elle réussit même le tour de force d’afficher un museau particulièrement incisif, tout en offrant une silhouette aux accents vintage (qui n’est pas sans rappeler la fabuleuse Lamborghini Miura).

Les 700 Nm de couple que délivrent les 639 ch de l’anglaise seront appréciés dans un habitacle raffiné et assemblé avec soin. Quant aux équipements ils ne manquent pas à l’appel à commencer par la dalle 12’’ qui remplace le compteur et compte-tours, ainsi que l’écran 8’’ qui assure l’infodivertissement sur la console centrale.

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Audi R8 V10

Arrivée sur le marché en 2007, la R8 V8 a placé Audi sur un segment où on ne l’attendait pas forcément. Le succès immédiat de ce coupé 2 places a poussé la firme aux anneaux à augmenté très sensiblement sa production, mais aussi à développer davantage celle qui devient alors sa muse sportive. C’est ainsi qu’apparut la R8 V10 dès 2009. Dotée de 540 ch, elle verra par la suite arriver une Audi R8 V10 Plus qui affiche quant à elle 610 ch.

Mais le meilleur restait encore à venir avec l’Audi R8 V10 RWS. L’allemande revient aux fondamentaux du segment sportif : la propulsion arrière. Si elle affiche encore 540 ch, cette R8 est pourtant la plus véloce de toutes avec un 0 à 100 km/h effacé en 3,7 secondes (contre 3,9 secondes pour la V10 Plus 610 ch).

Avec l’arrêt de sa production thermique pour une nouvelle génération électrique, l’Audi R8 V10 fait partie de ces modèles sur lesquels un investissement peut devenir très intéressant d’ici quelques années.

Ferrari California

Premier cabriolet de Ferrari doté d’un toit rigide rétractable, la Ferrari California donne tout son potentiel à la belle saison mais continue de faire office de véritable coupé en hiver. Avec sa carrosserie intégralement conçue en aluminium, la décapotable de Maranello compense le surpoids engendré par le mécanisme de son toit.

Mais ne vous y trompez pas, derrière son air joueur la Ferrari California cache toute l’expertise de la Scuderia en F1 avec notamment son anitpatinage F1-Trac directement inspiré du monde de la course.

Son V8 atmosphérique de 4.3 l de 490 ch affiche une vitesse maximale de 312 km/h. En 2014, le V8 3.8 l bi-turbo de la California T vient compléter la gamme.

Lamborghini Gallardo

Plus courte, plus légère, la petite Lamborghini fait office de phénomène dans sa gamme. Cette starlette haute en couleurs embarque tout de même un V10 de 500 à 570 ch et répartit presque parfaitement son poids entre l’avant et l’arrière (42 % / 58 %).

L’agrément de conduite est au rendez-vous avec la Lamborghini Gallardo, tout comme le confort intérieur et les équipements embarqués (notamment en termes de connectivité sur les modèles dès 2008).

La version cabriolet Spyder voit le jour en 2006 et se dote d’un aileron rétractable automatique.

Forte de son succès, l’italienne sera également décliné en Superleggera pour la fibre de carbone utilisée dans la carrosserie, ou encore Squadra Corse et Super Trofeo Stradale pour marquer des montées en puissance du bloc initial.

Porsche 911 GT3 RS

Apparue en 2003 sur la Porsche 911 type 996, la variante GT3 RS de la grenouille n’a depuis lors cessé de gagner des marchés. Plébiscitée par de nombreux acheteurs, la 911 GT3 RS est aussi à l’aise lorsqu’il est question de tout donner sur un circuit, que lorsque le calme revient et qu’on ne lui demande rien de plus qu’un petit cruising au soleil couchant.

Pour une GT3 RS récente, il faut viser les 911 type 991 et 992.

McLaren MP4-12C

Avec sa MP4-12C, McLaren revient sur le marché des voitures homologuées route, domaine que le constructeur avait abandonné depuis l’arrêt de la fabuleuse McLaren F1.

Profitant de toute l’expérience course de son constructeur, la McLaren MP4-12C se dote d’un châssis en fibre de carbone, d’un freinage en fonte et aluminium, d’un aileron aérofrein et d’amortisseurs interconnectés. Downsizing oblige, McLaren se contentera d’un V8 bi-turbo sur cet opus. Mais quelle sonorité pour ce bloc qui se vante d’atteindre les 331 km/h !

Ford Mustang

La Ford Mustang est particulièrement convoitée en import. La raison est simple : en France, seule les Ford Mustang GT, GT convertible et Dark Horse sont commercialisées en modèle thermique (avec boîte auto ou manuelle).

Si vous visez une autre déclinaison, il faudra se tourner vers les autres marchés européens, ou peut être même chercher jusque dans les annonces US. Attention toutefois, un passage sur les bancs de l’UTAC, Union technique de l’automobile et du cycle, sera peut-être nécessaire pour que votre pony car soit apte à rouler sur les routes françaises.

Nissan GT-R

475 ch sur ses premières versions, et 570 ch sur les millésimes les plus récents (600 ch pour la Nismo), la japonaise aux lignes si particulières mérite-t-elle de rejoindre le club des supercars ? Oui, sans aucun doute. Son couple de 627 Nm, ses éléments en carbone, ses freins carbone céramique, sa ligne d’échappement en titane sont parmi les nombreux atouts qu’affiche la belle.

Mais le plus évident reste l’agrément de conduite qu’offre cette GT-R avec des reprises assez fulgurantes, même haut dans les tours, et une direction d’une précision incroyable.

Ajoutons que la Nissan GT-R est certainement parmi les moins onéreuses de notre palmarès, avec pourtant un moteur totalement assemblé à la main et signé par des experts.

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